L'alimentation

chaque seconde des cellules meurent et un nombre égale de cellules naissent, par conséquent, la consommation quotidienne d'une nourriture non physiologique « pas adaptée à l'homme » et toxique, va influencer négativement les nouvelles formations de cellules, qui elles-mêmes vont influencer les prochaines générations et ainsi de suite...

Cette transmission de générations en générations est responsable d'une dégénérescence !

Nous avons d'une part, la réplication de cellules, qui lors de chaque phase de renouvellement héritent de capacités médiocres, et d'autre part, les effets délétères d'une nourriture néfaste qui encrasse notre système digestif !

En analysant à la fois le phénomène de remplacement des cellules mortes par de nouvelles cellules et la modification quasi instantanée des brins d'ADN par le phénomène d'épigénétisme modifiant ces nouvelles générations cellulaires, il semble donc, que la génétique ne peut-être totalement tenue responsable de l'état d'une personne, certes, nous héritons d'un patrimoine génétique mais celui-ci peut-être considérablement modifié pour le meilleur ou pour le pire.

Chaque seconde, environ 2000 cellules meurent ( phénomène d'apoptose) et de nouvelles cellules sont créées afin de renouveler nos tissus.

Le noyau de chacune de ces cellules contient des X appelés Chromosomes et l'ensemble de ceux-ci constitue le patrimoine génétique...

Chaque cellule de notre corps contient le même nombre de chromosomes, qui sont constitués d'ADN, à travers des réseaux de filaments extrêmement denses enroulés sur eux-même, (Le génome humain est composé de 46 chromosomes « 23 paires » et de 25 000 gènes).

Si les 46 chromosomes qui sont pelotonnés dans le noyau d’une seule cellule étaient étirés, ils s’étendraient sur environ 2 mètres...

Ces filaments sont organisés en plusieurs morceaux,appelés gènes, qui contiennent le caractère génétique de l'individu.

L'ADN est le même dans chaque cellule du corps, en fait, chaque cellule va exploiter qu'une partie des gènes en fonction de sa nature et de son rôle.

A l'image d'un ordinateur, la cellule à la capacité de lire le programme contenu dans un gène, lui permettant ainsi de savoir comment fonctionner.

Si les nouvelles cellules ne disposent pas des matériaux nécessaires à leur bon fonctionnement , celles-ci ne peuvent plus remplir leur tâche correctement.

Pour que ces matériaux soient disponibles, il est évident que notre système doit impérativement être libre de toutes obstructions, soient-elles sous formes de mucus, de matières inorganiques, de métaux lourds...

Chacune de nos cellules baigne dans un liquide biologique blanchâtre « Le liquide lymphatique », d'une composition analogue à celui du plasma sanguin, la lymphe contient des globules blancs et est, totalement dépourvue de globules rouges.

Elle a la particularité d'être plus pauvre en nutriments que le sang, par contre, elle est plus riche en déchets !

Le plasma constituant du sang (ainsi que les globules blancs) traverse les parois des ramifications des vaisseaux sanguins « les capillaires » pour former le liquide interstitiel dans lequel les cellules baignent, celles-ci, puisent une partie de leurs substances nutritives et rejettent leurs déchets.

Ces échanges doivent idéalement se produire dans un milieu propre, sans obstructions afin que la circulation soit fluide.

Ce liquide interstitiel est véhiculé par le biais des vaisseaux lymphatiques connectés à une série de ganglions ayant pour rôle de filtrer la lymphe et de détruire les microbes par phagocytose, c'est à dire, en les ingérant.

La lymphe circule extrêmement lentement et contrairement au sang, elle n'est pas relancée par une pompe (le cœur) mais par la contraction des muscles, la pression exercée par les tissus et la contraction des fibres musculaires et des gros vaisseaux lymphatiques.

La lymphe peut se retrouver engorgée de matières inorganiques provenant d'une alimentation délétère, non physiologique pour l'homme, à l'origine d'une production de déchets dont le corps ne sait quoi faire.

Des matières toxiques s'accumulent partout dans les cellules, tissus et organes.

Tous ces déchets entravent le bon fonctionnement de l'organisme, induisant à long terme la manifestation de toutes sortes de maladies.

« Nous sommes ce que nous mangeons »

- Hippocrate -